
Olivier Manitara est né en France le 15 juillet 1964 dans la petite ville de Vire en Normandie. De parents modestes, son père était un professeur d’arts martiaux et sa mère enseignante. Il a grandi avec les valeurs du monde moderne et sans aucune éducation religieuse ou spirituelle. À 19 ans, il fait sa première expérience mystique en découvrant le monde initiatique à travers les différents courants: Rose-Croix, Martinisme et tout l’environnement occulte de l’époque. Se trouvant dans une discipline et essayant de comprendre le monde qui l’entoure, il a vu un homme à barbe blanche apparaître, qui s’est avéré plus tard être le maître Peter Deunov.
C’est à cette époque qu’il rencontre son partenaire avec qui il partage ensuite toutes ses aventures. En 1985, une retraite spirituelle a commencé qui a duré trois ans. Pour s’isoler du monde, il part et part vivre dans les montagnes de l’Ariège. Et c’est dans ce lieu chargé d’histoire, où les Cathares ont vécu, qui comme lui ont cherché la Lumière, qui ont eu l’inspiration pour écrire ses premiers livres: trois ouvrages sur l’Apocalypse de Saint-Jean, qui n’ont jamais été publiés. En 1986, il crée les Editions Telesma qui publient des œuvres de Peter Deunov et de quelques occultistes de l’époque: Sesir, Peladan, Eliphas Levi, ainsi que certains de ses écrits, sous son vrai nom, Olivier Martin.
En 1991, lorsque la guerre du Golfe a éclaté, Olivier a voulu calmer les mondes subtils de la destruction et de la guerre. Il a déménagé dans de nombreuses villes et a proposé de grands rassemblements pour transformer les forces destructrices qui ont pollué les éthers en énergies de paix. La même année, il ouvre officiellement son école d’initiation, dans le courant de San Giovanni. Après avoir écrit quelques œuvres, il anime de courts séminaires dans les principales villes françaises. Grâce à des conférences, des méditations, des chansons, des danses et des mouvements énergétiques, les mêmes moyens utilisés avant lui par Rudolf Steiner, Omraam Mikhael Aivanhov et Peter Deunov, son véritable enseignement a pris de l’ampleur. Au fil du temps, il a atteint un public de plus en plus large.
En 1992, avec son partenaire, il acquiert un petit village de l’Aveyron, qu’ils baptisent Terre-Neuve, c’est-à-dire «Terra-Nuova». Cette colonie est le premier village essénien, dans lequel de nombreux amis l’ont rejoint et où il a vécu pendant quatorze ans. En 1993, en Afrique, le Gabon a vu la deuxième journée du village essénien. La même année, la fête de l’archange Michel est célébrée. En 1997, Olivier Martin est devenu Olivier Manitara. Depuis ce jour, tous ses livres portent ce nom. Toujours la même année, il se rend au Québec pour la première fois dont il tombe amoureux. Guy Paradis et Diane Latendresse, séduits par son enseignement, ont tout fait pour revenir et en fait il l’a fait plusieurs fois. En 2008, il s’est installé avec toute sa famille en Estrie.
Mot après mot, page après page, il partage sa vie et ses expériences intérieures, transmettant des savoirs ancestraux. Ses paroles libres, illuminent. Cette belle famille mérite une présentation:
Nazarh, né le 28 septembre 1997 – Saint-Michel -. Sa naissance a rempli Olivier et son partenaire de joie: ils étaient désormais une famille. Fanny est née le 16 août 1999, lors du congrès annuel d’été. La famille s’est agrandie et apporter à chacun beaucoup de bonheur. Salomé, née le 2 avril 2001. Le dernier enfant est venu compléter la famille et la remplir de cette troisième bénédiction. En 2003, Olivier s’est engagé dans un projet mondial, devenant messager du Manifeste pour la paix à l’Unesco. Cette année-là, la première Ronda degli Arcangeli a été célébrée, les quatre grandes fêtes des Archanges Michele, Raffaele, Gabriele et Uriele. Cette ronde des archanges est la pratique officielle des Esséniens contemporains, le corps vivant de la nation essénienne. Partout dans le monde, les Esséniens se réunissent aux solstices et aux équinoxes pour célébrer les Archanges et les Anges. En 2006, la nation essénienne a été officialisée par le peuple essénien. Il est reconnu par le gouvernement canadien comme œuvre de bienfaisance, sous le nom de la Fondation Essenia. La fondation mère a son siège administratif au Québec tandis que dans d’autres pays, il y a des succursales. En octobre 2007, la Fondation Essenia a acquis un terrain à Cookshire-Eaton, au Québec, qui a ainsi donné naissance au troisième village essénien. Olivier vit et enseigne, entouré de nombreuses familles.
Olivier Manitara est l’auteur de :
• de nombreux livres, théoriques et pratiques, sur différents personnages historiques;
• plusieurs centaines de cahiers d’enseignement et de lettres à ses élèves;
• plus de 1000 conférences enregistrées;
• des centaines de dessins méditatifs et de mandalas esséniens;
• des centaines de mélodies et de chansons esséniennes;
• des centaines de mouvements méditatifs et de danses esséniennes.
Ces chiffres sont approximatifs car chaque mois, il présente à son public grandissant un nouveau livre, un nouveau livre de pratique, une nouvelle lettre, et de nouvelles conférences ..
Comment Olivier se définit. Il se définit comme un homme de Tradition, un homme qui a toujours cherché à travers les textes sacrés de l’humanité, la source de tout. Avec un début de vie très austère, il a acquis une sagesse qui lui permet de comprendre la vie, l’univers et l’être humain, dans le monde visible comme dans les mondes subtils. Et c’est aussi un guide qui, grâce à sa pratique, peut transmettre ce savoir. Pour comprendre cet homme hors du commun, on peut utiliser une image: Olivier Manitara est comme un violoniste qui a étudié et pratiqué la musique et qui, avec son travail, a acquis une finesse qui lui permet d’appréhender la musique et tous les sphères qu’il peut intégrer. Il est capable d’écouter de la musique, de la comprendre, de la jouer, de la composer et, surtout, de la transmettre à des étudiants désireux d’apprendre, car le but de chaque enseignement est que chacun devienne lui-même enseignant et, à son tour, transmet les connaissances acquises. Quiconque l’a vraiment connu dira qu’il est un vrai maître essénien. On a parfois dit qu’il avait canalisé, qui était une chaîne, mais c’est faux. Olivier Manitara a cette particularité de gérer les mondes subtils jusqu’à la matière. La canalisation ne nécessite pas un corps capable de contenir et de réaliser concrètement ce qui vient des mondes subtils. Les channelers ne sont que des musiciens qui écoutent de la musique sans savoir d’où elle vient; ils ne savent pas jouer de leur propre instrument et encore moins créer. Contrairement à ceux qui canalisent, Olivier Manitara se sent responsable de tout ce qu’il enseigne et c’est pourquoi il ne guide pas ceux qui l’approchent avec des hypothèses, des théories sensationnelles qui ne peuvent être démontrées par l’expérimentation. Tout ce qu’il transmet l’a vécu et vécu. Voici ce qui le distingue de toutes les personnes qui enseignent comment vivre sans gérer sa propre vie. Olivier Manitara écrit continuellement, crée de nombreuses façons d’enseigner. Et un monde entier vit et grandit de jour en jour, autour de ses œuvres qui deviennent les œuvres communes de toute une nation. Et comme il le dit souvent: “Je ne peux pas faire grand-chose seul, mais avec tout un peuple, nous pouvons construire une civilisation”.
